Des chercheurs de l’Université de Chiba ont étudié le potentiel de la mélanine, issue de l’encre de seiche, dans la synthèse durable de biopolymères. En décomposant la mélanine artificielle et naturelle, ils ont démontré que les produits de cette décomposition peuvent servir de matières premières pour créer des films polymériques biodégradables, ouvrant la voie à des matériaux durables et respectueux de l’environnement.