Des chercheurs de l’Université de Kiel ont comparé divers revêtements biomédicaux et analysé leurs interactions avec la peau, les cellules et les virus. Ils ont utilisé une technique de dépôt chimique en phase vapeur initiée (iCVD) pour produire des revêtements ultra-lisses et uniformes, sans défauts, permettant d’étudier précisément les interactions entre les revêtements et les virus. Ce procédé, plus respectueux de l’environnement, a été appliqué pour créer des surfaces antivirales pour des produits variés, comme les écrans tactiles et les filtres de masques respiratoires.