Une récente étude présentée par l’Université de Californie (UCLA) révèle que mâcher un chewing-gum pourrait exposer les individus à des milliers de microplastiques. Chaque gramme de chewing-gum libère en moyenne 100 microplastiques en seulement quelques minutes de mastication, principalement des polyoléfines comme le polyéthylène et le polypropylène. Contre toute attente, les gommes naturelles et synthétiques présentent des taux similaires d’émission. Prolonger la mastication d’une même gomme réduit cette exposition. Bien que les effets sanitaires précis restent inconnus, ces résultats invitent à repenser la composition des chewing-gums pour limiter cette source méconnue de pollution plastique.
Actualités
- Postdoctoral position : Molecular modeling of solvent/polymer interactions in the context of PVC recycling – IFPEN, Rueil-Malmaison (13/04/2025)
- PhD Position in Physical-Chemistry: Polypeptide coacervation towards the origins of Life – CRPP and LCPO, Bordeaux (13/04/2025)
- PhD Position in Chemistry : Prebiotic polymers towards the origin of Life – LCPO and CRPP, Bordeaux (13/04/2025)
- Offre de thèse : Représentation gros grain des phénomènes d’association moléculaire – Institut de Chimie de Clermont-Ferrand (13/04/2025)
- Microplastiques, une pollution invisible aux conséquences globales