L’impression 3D s’est imposée comme un outil clé dans la recherche et développement, particulièrement dans les domaines des polymères et des matériaux plastiques. Elle permet de fabriquer rapidement des prototypes fonctionnels ou de petites séries pour tester de nouveaux matériaux dans des conditions réalistes, qu’il s’agisse de résistance mécanique, de réactivité thermique ou d’autres contraintes spécifiques. Cependant, cette technologie doit être totalement ouverte et flexible, permettant aux chercheurs de choisir librement les matériaux et de personnaliser les paramètres pour favoriser une innovation véritablement efficace.

Les systèmes fermés limitent la créativité et la performance des laboratoires, freinant l’optimisation des coûts et des délais. Ainsi, l’ouverture des technologies d’impression 3D est cruciale pour garantir une R&D performante et adaptable aux besoins toujours changeants des secteurs industriels. En permettant une rétrocompatibilité des systèmes et une liberté d’utilisation, les centres de recherche peuvent explorer de nouvelles formulations de polymères ou développer des matériaux multi-fonctionnels sans les contraintes liées à des consommables propriétaires ou des paramétrages complexes.