Megan Hill, professeure à l’Université d’État du Colorado, explique que les microplastiques, bien qu’inertes, persistent dans l’environnement et sont désormais retrouvés dans le corps humain. Son laboratoire travaille à intégrer des liaisons réversibles dans les polymères pour améliorer leur recyclabilité, abordant ainsi la durabilité des plastiques. Avec des avancées en ingénierie enzymatique et de nouveaux procédés de recyclage, Hill voit un avenir prometteur pour les plastiques durables, mais souligne l’importance de repenser leur utilisation à long terme.