Des chercheurs de l’université d’Osaka ont démontré comment des additifs peuvent faciliter l’auto-assemblage de microparticules sphériques en polymère, tout en contrôlant la forme macroscopique des structures obtenues. Grâce à des interactions spécifiques entre des résidus chimiques comme la β-cyclodextrine et l’adamantane, les assemblages ne se forment qu’à une concentration critique d’un additif, l’AdNH3Cl. Cette étude, inspirée des protéines biologiques, pourrait ouvrir la voie à des matériaux actifs capables de réagir à des stimuli extérieurs.