Des chercheurs de l’Université de Twente ont utilisé la spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN) pour cartographier la distribution des polyelectrolytes et résoudre une énigme chimique vieille d’un siècle. Cette méthode permet de quantifier avec précision la distribution des polyelectrolytes et des contre-ions après leur complexation. Cette avancée ouvre de nouvelles perspectives pour le développement de matériaux basés sur ces complexes, tels que les membranes poreuses pour la filtration de l’eau.